estac matches de legende metz lyon - marseille

Oh que cette victoire fait du bien. L'ESTAC s'est offert un succès sous forme de libération face à Metz après 12 matches sans victoire. C'est merité après tant de performances non récompensées. En une soirée elle a effacé 3 mois de frustration accumulée. Elle qui n'avait inscrit que 2 buts lors des 7 derniers matches, n'a pas fait dans la demi mesure en en inscrivant 4 d'un coup. Avec la victoire surprise de Nantes à Strasbourg, la voilà dans une situation beaucoup plus confortable qu'avant ce match. Elle possède 5 points d'avance sur Strasbourg et Ajaccio et 6 sur Metz qui vient de capituler. Ainsi va le football qui chamboule des semaines de doute en une seule soirée. Une chose est certaine, ce maintien est largement mérité. Dans ce match de la peur, l'ESTAC ne s'est pas affolée, fidèle à ses promesses de maitriser son jeu et ses nerfs. Elle avait jeter les bases de sa partition dès le 1er quart d'heure, avec une bien plus grande maitirse technique que son adversaire et la volonté de ne pas se laisser dicter les évenements. Sans faire un grand match, ce fut suffisant pour faire une nette différence avec une équipe messine fébrile et limitée. Elle eut le bonheur de marquer en premier, grace à Amzine, l'homme des buts capitaux puisqu'il avait deja inscrit le but victorieux à Ajaccio. Cet avantage au score, enfin, a mis l'ESTAC dans la situation la plus favorable qu'il soit. Les messins ne se sont pas découragés et ont continué a attaquer. Le meilleur moyen d'éviter toute mauvaise surprise était de se mettre à l'abri, ce qui fut fait rapidement par l'intermédiaire de Dallet. Il fallait bien ça car il était dit que les troyens ne seraient pas épargnés car dans la foulée Metz réduisait l'écart grace à Ouadah. Heureusement le sort fut plus avenant avec l'ESTAC qui bénéficia aussitot d'un pénalty que Nivet ne se priat pas de transformer pour redonner un écart plus conséquent, Grax en fin de match sella définitivement le sort de la rencontre. Le but de Metz dans les arrets de jeu ne changera plus rien. L'ESTAC vient de frapper un grand coup.